Tu ne m'aimes pas? Et bas tant pis pour toi. Feat Embeth.

Tu ne m'aimes pas? ...

Tu ne m'aimes pas? Et bas tant pis pour toi. Feat Embeth. Wiib

Tu ne m'aimes pas? Et bas tant pis pour toi. Feat Embeth. Willa

Embeth and Damon.

Qu'est-ce qu'on peut s'ennuyer en cours. Je ne sais pas ce qui a pu pousser ces personnes à devenir prof? Franchement, il n'y a rien d’intéressant dans ce métier. Le pire c'est qu'ils ne gagnent pas des masses. Ils devaient certainement avoir un grand rêve, mais voyant qu'ils ne pouvaient pas y arriver ils se sont rabattu sur ce métier. Vive l'ambition moi je vous dis. Non, mais sérieusement, ils nous disent que l'on doit bosser pour pouvoir avoir un bel avenir, mais eux, ils ne sont pas capable d'atteindre leur but. J'en suis sur, que le soir quand ils rentrent chez eux, et qu'ils corrigent nos copies, ils boivent un bon verre d'alcool avant et hop ils s'y mettent, mais ils se tirent les cheveux devant les erreurs qui encombrent toute la feuille. Non, c'est décidé, jamais je deviendrai un professeur. C'est trop d'ennui, et on se prend trop la tête pour un rien. Alors que si je deviens un bon avocat, là ça change la donne. Bon bien entendu, il y a beaucoup plus de travail, mais il y a aussi beaucoup plus d'argent. Je vois tout en grand, je le sais. Mais c'est comme ça que je vois mon avenir. Je le vois en grand.

Comme vous pouvez le constatez, Damon ne suit pas vraiment les cours. Il veut vite en finir avec ça, et commencer réellement son travail. Ce n'est pas parce qu'il n'écoute pas, qu'il est un mauvais élève. Il a deux oreilles comme vous et moi. Et son oreille droite et toujours posée sur la bouche de son professeur. C'est étrange, mais il arrive à suivre deux chose en même temps. Il peut penser à son avenir, et entendre les paroles barbantes de Monsieur Stokson. Je suis d'accord avec vous. Ce n'est pas très malin de faire comme ça, mais qu'est-ce qu'on peut y faire. Damon est jeune homme qui n'en fait qu'à sa tête. Vous pouvez lui dire bien des choses, mais jamais il n'en tiendra compte. De toute façon, que pouvons nous y faire? Il a de bon résultats. C'est suffisant pour lui. Il ne demande pas la lune, juste la moyenne.
Cela fait seulement dix minutes que le cours à commencé, et voilà qu'il n'a toujours pas sortit c'est affaires, et qu'il trépigne sur sa chaise. C'est ça dernière heure de cours. Il n'en peut plus, il pense à aller a cinéma. On lui a dit qu'il y avait de bons films en ce moment. A force de tout le temps bouger dans tous les sens, il se rendit compte qu'à côté de lui, il y avait une jeune femme qu'il n'avait jamais vu. Pourquoi? Je ne sais pas. Il ne fait pas vraiment attention à toutes les filles du lycée non plus. C'est un chaud lapin notre petite Damon, mais quand même, il ne faut pas exagérer. A ce que j'ai entendu au début du cours, elle se nome Embeth. Je ne me souviens plus de son nom de famille, mais je suis sur que Damon va très vite le lui demander, car il n'a toujours pas levé son regard de cette jeune demoiselle. Je connais cet air qu'il a. Attention mesdames et messieurs, le beau Damon charmeur est de retour.

Mais qui est cette belle demoiselle? Je ne l'ai jamais vu avant aujourd'hui. Et encore moins dans ce cours. Mais dis donc, c'est que je vais devoir mener ma propre petite enquête sur cette fille. On va y aller en douceur. Il ne faut pas la brusquer, et encore moins lui faire peur. Il faut lui faire une bonne impression mon gars. Aujourd'hui, il est si facile de rendre une fille folle amoureuse de toi. Il faut regarder autour de moi. Il y Elisabeth je ne sais pas quoi qui me regarde depuis je ne sais pas combien de temps. C'est quoi ce truc qui lui coule de la bouche? Aaah non là c'est vraiment crade. Fermes ta bouche allez! Elle s'était vraiment parce que j'étais saoul, sinon je ne l'aurai jamais mise dans mon lit. Bref revenons sur ma voisine de gauche. C'est quoi déjà son prénom?

DAMBETH
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J'écoutais le cours d'une oreille distraite. Même si j'étais le genre d'élève assidue, on ne pouvait pas vraiment dire que le cours d'histoire de monsieur Stokson était passionnant. De plus, cela ne m'aidait pas du tout pour ce que je voulais devenir plus tard. Journaliste. Ouais, c'était mon rêve. Je ne voulais raconter quelques faits divers comme un vol chez la mamie du quartier, non, j'avais vraiment envie d'écrire quelque chose d'intéressant, de devoir mener ma petite enquête pour informer la population. Je voulais faire quelque chose de concret, en gros. Ou bien alors, prof, oui, de littérature. Pourquoi pas ? Les deux professions pouvaient être intéressantes à envisager. J'essaierai de captiver mes élèves, les intriguer, leur montrer la douceur de la littérature, anglaise comme française d'ailleurs ! Ouais, je me voyais bien là, à la place de monsieur Stokson, donner mon cours à des jeunes adultes aussi passionnés en littérature que moi. Ah, le rêve. C'était surement encore un rêve qui ne se réalisera jamais. Je soupirai et remis une mèche de mes cheveux derrière mon oreille. Les rêves ne se réalisaient jamais pour les filles comme moi. Les rêves, c'était pour les contes de fées et or, jusqu'à preuve du contraire, ma vie était bien loin du conte de fées où tout était beau, où tout était rose. Ma vie ressemblait plus à cauchemar, à un accident de voiture, à deux morts et une miraculée, à de la solitude à en crever, ouais, ça résumait bien ma vie. Même si je ne fumais pour ainsi dire jamais, j'avais bien envie d'une clope, là. Pas pour la nicotine, non, juste pour ... le style. Apparemment, j'avais le style d'une rebelle, je ne voyais pas en quoi, mais peu importait. J'avais bien envie de me la jouer bad-girl, là. Je souris, qu'est-ce que j'étais débile. Je chassais cette image d'une Embeth rebelle portant une veste en cuir noir assise sur le siège arrière d'un moto en train d'enlacer un gros moustachus nommé Rocky, les cheveux au vent et essayais de me concentrer sur le cours d'histoire. Que s'est-il passé le 22 novembre 1963 ? Tiens, mais je connais la réponse à celle-là. Je levais la main. « Oui, mademoiselle Bentley ? » « L'assassinat de Kennedy à Dallas. » « En effet, il décèdera peu de temps après à l'hôpital de Parkland. D'ailleurs, son assassinat reste pour ... ». Je n'écoutais plus. Je savais déjà ce qu'il s'est passé ce jour-là. Je regardais la classe, personne n'avait vraiment l'air captivé parce que monsieur Stokson racontait, pauvre prof. Il me faisait un peu pitié. Il n'avait jamais eu d'autorité et se faisait victimiser par les premières. Ouais, j'avais de la peine pour lui, il n'était pas bien méchant, peut être juste un peu naïf sur les bords. Et trop gentil aussi! J'arrêtais mon observation, je me sentais observée à mon tour, épiée. Ça me donnait des frissons dans le dos. Je me massais la nuque de la main droite, vraiment je me sentais mal. Je n'osais plus bouger. J'essayais de voir du coin de l'œil qui me regardait comme ça. J'essayais d'avoir l'air détendue, mais j'étais sûr que personne n'était dupe. Damon Stewart. Tous les muscles de mon corps se détendirent d'un seul coup, ce n'était que lui. J'avais tellement entendu parler de lui. Un briseur de cœur, un vrai. Je me demandais ce qui l'obligeait à être ainsi. Généralement, je ne juge pas aux dires des gens, mais lui, j'avais déjà eu l'occasion de voir comment il traitait les filles qu'il ne voulait plus voir. Franchement pathétique. Il doit avoir un manque affectif pour avoir le besoin de se montrer supérieur aux autres comme ça. Puis, pourquoi il me regardait d'abord ? Ce n'était pas comme si c'était la première fois que j'étais dans sa classe. Il était peut-être surpris du fait que je connaissais la réponse car on ne peut vraiment dire que tous les sportifs soient munis d'un cerveau. Damon Stewart devait surement faire partie des cas, malheureusement trop rependu, de ceux qui n'en possédaient pas. Je ne le connaissais pas personnellement et je ne lui avais encore jamais parlé, encore heureuse, mais sa tête, son comportement, son attitude en disait déjà assez sur la personne qu'il était ou qu'il voudrait que tout le monde croie qu'il était. Bah oui, peut-être qu'au fond son cas n'était pas aussi désespéré que cela en avait l'air. La vie peut nous réserver bien des surprises. Le cas Carter par exemple. Ouais, enfin quoiqu'il en soit, Stewart n'arrêtait de me regarder. Je tournais la tête dans sa direction et le regardais dans les yeux. A ce moment-là, ses yeux quittèrent mon visage pour aller se poser sur quelqu'un ou quelque chose qui se trouvait derrière moi. Peu importait quoi ou qui, tant qu'il arrêtait de me fixer comme. Je me retournais vers le grand tableau où Stokson commençait à écrire quelque chose dessus. Je pris mon crayon entre mon pouce et mon index et commençais à noter. Je me crispais, encore cette désagréable sensation d'oppression, d'être observée. Je tournais discrètement vers Damon, faisant mine de regarder par la fenêtre et priait pour que ça ne soit pas lui qui me regardait. Putain de merde. Oui, bon, c'est pas joli à dire, mais Damon me regardait encore comme un psyhopathe, ma vie ne ressemblait à rien, je me sentais mal et tous ce qu'il me restait c'était ces trois petits mots : putain de merde ! Du coin de l'œil, je lui lançais un regard comme pour vérifier si c'était bien moi qu'il regardait. Quelle idiote, bien sûr que c'était moi qu'il regardait. Je soupirais une nouvelle fois. Pourquoi ce psychopathe me regardait-il ainsi ? J'avais un truc coincé entre les deux ou quoi ?! Oh. Oui! C'était surement ça et il se foutait de moi en me fixant. Je passais ma langue sur mes dents lisses, apparemment rien n'était coincé. Je me retournais et me pliais en deux de sorte que le sportif sans cervelle ne puisse me voir. Je passais soigneusement mon index sur chacune de mes dents. Fausse alerte, rien à l'horizon. Mais ça n'expliquait toujours pas pourquoi il m'observait. Je pris une grande inspiration et levais la main droite. « Oui Embeth ? ». J'hésitais... Peut-être que je me trompais après tout ... Mais je me lançais quand même. « Pourriez-vous demander à ... l'imbécile à côté de moi d'arrêter de me regarder ainsi, s'il vous plait ? ». Toute la classe, monsieur Stokson et moi y compris, se retourna vers Damon. Espérons que je me fasse des idées et qu'il ne soit pas un psychopathe. Oui, je préférais avoir la honte de ma vie plutôt que d'avoir un dingue que me regardait vingt quatre heures sur vingt quatre !
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Tu ne m'aimes pas? ...

Embeth and Damon.

Damon a toujours trouvé que son cours d'histoire, était le pire qu'il avait suivi pendant toute sa scolarité. Pourquoi? Parce que son professeur ne fait pas partager sa passion de l'histoire, c'est comme s'il apprenait par cœur toutes les leçons, tous les soirs avant de donner à cours à ces jeunes personnes. Non, je peux vous dire que ce n'est pas une passion son métier. Il le fait juste pour pouvoir gagner de l'argent et nourrir sa petite famille. Chose que beaucoup de personne font. Monsieur Stewart, ne veut pas finir comme ça. s'il fait un métier c'est parce qu'il l'aime. Bien entendu, il y a aussi une histoire d'argent, mais s'il avait le choix entre un métier super méga bien payé qu'il déteste, et un métier moins bien payé qu'il aime, il choisir ce dernier. Cependant, tout le monde n'a pas vraiment le choix. C'est ainsi qu'est fait la vie. Regardez tout autour de vous, vous voyez ces élèves qui rêvent à tout autres choses. Habby McKlington, qui regarde les cherleader. On peut deviner dans son regard, qu'elle souhaiterai en devenir une, mais elle sait très bien que son physique ne le lui permet pas. Elle a déjà tenté plusieurs fois de faire partit de ce groupe, mais à chaque foi qu'elle est arrivé pour commencer sa démonstration, on l'a renvoyé. Sam Brooth lui est en admiration sur la meilleure amie de Damon. Serafina est une fille bien jolie, mais elle ne se laisse pas avoir comme ça, et ça tout le monde le sait. Alors Sam attend désespérément le baiser qu'elle viendrai un jour lui déposer sur ses lèvres. A mon avis ce n'est pas demain la veille, ça je peux même vous le certifier. Puis il y a cette fille qui n'est pas très loin de Damon. Il n'arrive pas à se souvenir de son nom et le cherche tout seul dans son coin comme un gros blaireau. Il fait peur quand il fixe comme ça une personne. D'ailleurs elle doit avoir peur, car elle essaye de le regarder tout en se faisant discrète, c'est quand même assez drôle à voir. Genre, elle se cache derrière ses longs cheveux. J'espère que pour elle, que son rêve n'était pas de devenir agent secret, car elle n'a aucun talent pour aller dans ce métier. Mais alors aucun. Tout d'un cou Damon fut sortit de ses rêveries. Quelqu'un venait de lever la main. Il se demanda pourquoi, car le prof n'avait pas posé de question. « Pourriez-vous demander à ... l'imbécile à côté de moi d'arrêter de me regarder ainsi, s'il vous plait ? » Là se fut Mademoiselle Bentley qui venait de parler. Il fut choquer par ses propos, il l'a croyait un peu plus intelligente que ça, et surtout qu'elle voulait se faire discrète, choses totalement foiré, car toute la classe c'était retournée vers eux. Ils étaient tous un peu surpris, même Monsieur Stokson. Personne ne savait quoi dire. C'était la première fois qu'on venait de parler comme ça ouvertement à Damon, voilà pourquoi personne ne parlait. Il y avait comme un suspense. Ils se demandaient tous, s'il allaient se lever pour la martyriser, où s'il allait l'insulter. Personne ne vue juste. Il était tout simplement déçu par cette jeune fille. Lui qui cherchait son nom, il se fut renvoyer bouler pour n'avoir rien fait de mal pour une fois. « L'imbécile comme tu le dis, cherchait ton prénom. Y a-t-il un crime derrière tout ça? Non, je ne pense pas. Et si tu as quelque chose à me faire passer, viens donc me le dire personnellement, inutile d'interrompre le cours monsieur Stokson.» Mais je n'ai pas dit qu'il ne la remettrai pas à ça place. C'est de Damon que l'on parler, pas de l'un de ses élèves qui tente de se cacher derrière ses livres et qui ne dit jamais rien. Ô non ce n'est pas du tout le même genre de personne.

DAMBETH
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Je m'étais réveillée en retard. Mes colocataires n'avaient même pas trouvé utile de me réveiller. De mauvaise humeur, je m'étais habillée en vitesse, enfilant un jean à la va vite, un t-shirt gris et un gilet long noir. J'enfilais aussi mes converse courtes noires. Et pris mon sac de cours. J'allais me venger, elles ne m'avaient pas réveillée. Durant le trajet vers ma classe de géographie, je réfléchissais à la manière la plus machiavélique pour me venger de ces deux petites pestes blondes. Je les adorais, ne me faites pas dire ce que je ne dit pas, c'est juste qu'elles auraient pu me réveiller, c'était pas compliqué bon sang de bon soir. Enfin, si peu être un peu, c'est vrai que je suis grognon quand je me réveille, mais c'était pas une raison, m'enfin ! Où allait le monde ? Toute la journée ça avait été une même et longue répétition : les cours, durant lesquels je cherchais une tactique pour me venger, les changements de classe, durant lesquels je cherchais une tactique pour me venger, la pause de midi, durant laquelle je cherchais une tactique pour me venger, les cours, durant lesquels je cherchais une tactique pour me venger, les changements de cours, durant lesquels je cherchais une tactique pour me venger et de nouveau les cours, durant lesquels je cherchais une tactique pour me venger. La même chose jusqu'en histoire. Le cours de monsieur Stokson venait perturber ma routine du jour. Et franchement, je crois que j'aurai préféré rester dans ma routine. Damon Stewart me regardait. Oui, moi, la pauvre gosse perdue et totalement déboussolée. Pourquoi ? Ça je ne le savais et vous savez quoi ? Je n'avais pas vraiment envie de le savoir. Je savais quel genre de garçon était Damon et sincèrement, le voir de loin, de très très loin était largement suffisant. En fait, ne pas le voir du tout, c'était encore mieux, mais malheureusement pour moi, cet idiot était dans la même université que moi et même bien plus que ça, ce triple-idiot était au même cours d'histoire que moi. Bon, avant je ne faisais que l'ignorer, je ne lui parlais pas, ne le regardais pas alors pourquoi me regardait-il comme ça ? Franchement, même si vous rêviez du grand et beau Damon jour et nuit, vous n'auriez pas aimé être à ma place aujourd'hui, j'avais vraiment peur de son regard. Vous voyez le genre de regard de psychopathe qui ne vous lâche pas et qui vous observe, vous espionne pendant que vous êtes sous la douche ou en train de vous déshabiller, qui vous filme quand vous dormez, qui pense à vous quand il se mas ... heu je m'emportais. Tout ça pour dire que quand Damon me fixait, j'avais franchement peur de lui. Je l'avais même signalé au gentil monsieur Stokson que le débile me regardait bizarrement. On était tous là en train de le regarder de travers, certains souriant comme des idiots, d'autres surpris. Franchement, il y avait de tout dans les réactions. Moi je ne trouvais pas ça drôle. Je trouvais ça trop bizarre. C'était comme si Damon – ça me parait vraiment étrange de l'appeler par son prénom, j'ai plus l'habitude de l'appeler l'idiot -, avait eu une illumination et avait remarqué que j'étais dans sa classe. Tout le monde attendait sa réponse. « L'imbécile comme tu le dis, cherchait ton prénom. Y a-t-il un crime derrière tout ça? Non, je ne pense pas. Et si tu as quelque chose à me faire passer, viens donc me le dire personnellement, inutile d'interrompre le cours monsieur Stokson.», finit-il enfin par dire. Non, mais il était sérieux là ? Pour qui ce prenait-il ? Ce n'était pas un imbécile dans son genre qui allait me rabaisser. « On est dans une société civilisée, OK? Quand tu veux le prénom de quelqu'un tu lui demandes. Tu la fixes pas comme un psychopathe, putain. Je m'appelle Embeth Robyn Bentley. Alors maintenant, si tu veux bien arrêter de me fixer comme ça et me laisser me concentrer sur le cours d'histoire de monsieur Stokson, ça serait bien gentil à toi. En te remerciant ! » Je lui adressais un sourire forcé. Je me retournais vers le professeur qui semblait désemparer devant la situation et lui dit « Pardon pour cette courte interruption, vous pouvez continuer. » Je me rasseyais sur mon siège en tirant sur mon t-shirt gris. Non, mais franchement, ce n'était qu'un crétin fini.
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Tu ne m'aimes pas? ...

Embeth and Damon.

Y a des personnes qui sont parfois assez étranges. Je ne sais pas dans quel sens, mais parfois on a du mal à les reconnaitre. Y en à qui sont prêt à tout pour devenir une personne très populaire. Là, je peux tout à fait comprendre. Tout le monde souhaite devenir quelqu'un de très respecté dans son établissement, de dire bonjour toute les secondes. C'est vrai que beaucoup de monde en rêve. Cependant, il y a peu de personnes qui arrivent à ce nouveau là. La plus part du temps, cela n'existe que dans les films. Je ne dis pas que cela n'arrive pas dans la vrai vie, ne me faites pas dire ce que je n'ai pas prononcé. Je dis seulement que c'est quand même assez rare. Bien entendu, il y en a dans tous les établissements, mais ce n'est pas tout le monde qui est populaire, sinon il n'y aurai même pas ce statut là. A quoi il servirai? Tout le monde voudrai devenir quelqu'un de mystérieux. Enfin ce que chacun souhaite c'est être différent, je pense. Ce n'est pas une certitude, car il y a pas mal de monde qui veut être la panoplie d'un tel et d'un tel. Mais il y a tout le temps des exceptions, non? Il suffit de regarder autour de nous, tenez voici une preuve, ma classe d'histoire. Nous avons tous une identité différentes, mais cependant, certaines personnes se ressemblent énormément. Les cherleader, sont toutes habillées pareilles, et nous les sportifs ont a tous nos vestes de l'équipe, posées sur nos chaises. Vous voyez, quand on appartient à un groupe, on est pas vraiment différent des autres, on se ressemble bien plus que l'on ne le pense. Ensuite, il y a ceux qui souhaitent devenir comme nous, faire partit de notre groupe, mais qui ont du mal à être intégrés parmi nous, c'est de notre faute il faut dire. Nous ne voulons pas d'eux, c'est tout. Ils le savent très bien, mais ils n'abandonneront jamais leur idée. Ne me regardez pas comme ça, je ne suis pas un monstre, d'ailleurs je ne suis pas le seul dans cette affaire. Je ne veux pas que des personnes qui passent leurs journées à jouer à je ne sais quoi sur leur ordinateur viennent nous contaminer avec leur paroles qui sont d'une imbécilité profonde. Vous pouvez le comprend j'en suis sur.Mais il n'y a pas que les sportifs, les cherleader, et les panoplies dans cette salle. Il y a de nombreuses autres personnes. Il y a ceux que l'on appelle les grosses têtes, je pense qu'il est inutile de vous dire qui sont ces personnes, leur surnom suffit. Il y a les musicien, toujours un peu dans les vapes comme les drogués, et pour finir il y a ceux qui sont discrets, comme cette fille que je regarde depuis tout à l'heure. Mais depuis qu'elle a ouvert la bouche, mon regard et mon idée sur elle à totalement changé. Je ne la connaissait pas, je ne la connais toujours pas, mais ça on s'en fout. Mais je sais au moins à qui j'ai affaire. Quelqu'un qui a une grande gueule, ouais une grande gueule. Comme vous pouvez le constater, je ne lui ai rien dit de méchant, mais on dirai bien que je lui ai fait du mal à cette petite. Va falloir mettre les points sur les i. Encore une de ces foutues personnes qui jugent sans connaître. Va falloir lui apprendre à ne pas juger les personnes comme ça. Elle ne me connaît pas, il n'y a pas besoin de hisser le drapeau rouge, celui de la guerre.

« On est dans une société civilisée, OK? Quand tu veux le prénom de quelqu'un tu lui demandes. Tu la fixes pas comme un psychopathe, putain. Je m'appelle Embeth Robyn Bentley. Alors maintenant, si tu veux bien arrêter de me fixer comme ça et me laisser me concentrer sur le cours d'histoire de monsieur Stokson, ça serait bien gentil à toi. En te remerciant ! »

Bas elle est folle cette fille. Un psychopathe, moi? On n'est pas sur la même longueur d'onde nous deux , ça il y a pas photo. Le grand Damon va devoir lui montrer qui est le boss ici. Ô j'ai toujours rêvé de dire ça. Un jour va falloir que je le sorte.

« Ô c'est qui le boss?!»

Euh ... j'étais pas sensé le sortir maintenant, là tout de suite, je pouvais très bien attendre. Ah bas là c'est clair qu'ils doivent me prendre pour un fou. Bas ça va arrêtez de me regarde comme ça, je suis une bête de foire bande de * BIP BIP BIP *.

Elisabeth Mattew:

Ce cours est vraiment dynamique aujourd’hui, je suis sur que Damon va aller la voir ste * BIP BIP BIP BIP BIP BIP *.

... enfin ils ont compris qu'ils devraient mieux regarder ailleurs. Ils sont cheloux les gens parfois. Non je ne parle pas de moi, je suis pas une personne qui est prête à se dévaloriser comme ça. Pour qui vous me prenez? J'ai plus de respect pour moi que pour la plupart des gens de ma classe. Vous voyez à quel point je suis ... non je n'allais pas dire égocentrique. Je suis dans ma tête alors je dis ce que je veux. Faut peur être que je lui réponde à l'autre ... euh comme c'est son petit prénom déjà? Ah bas voilà à cause de vous tous, je ne sais même pas comment elle s'appelle. A dire vrai je n'ai pas franchement écouté ce qu'elle m'a dit. En général je m'en fiche de ce que pense les gens sur mon compte, et ce n'est pas avec elle que je vais faire une exception. J'avoue par contre que quand il y aune jolie fille qui me traite d'une façon peu convenable je vais toujours faire en sorte que son avis change. Et je vais bien faire pareil avec elle. A quoi bon changer ses bonnes vieilles habitudes.

«Mademoiselle Bentley, calmez vous 'il vous plait on en cours tout de même, et vous Monsieur Stewart, si vous ne voulez pas suivre le cours ne faite pas partager votre perte de temps avec ceux qui veulent travailler, Merci.»

Bas alors là j'hallucine totalement, j'ai rien fait, c'est elle qui s'excite comme je ne sais pas quoi, et je m'en prends plein la goule. Désormais on va voir qui sait qui dérange le cours.

«Euh ... toi là! Oui toi la fille qui s'énerve très vite. Je t'avoue que tu as un caractère bien tordu, très corsé. Ouais bon je te laisse poursuivre ton cours qui va te servir à quedal dans ton métiers, mais bon c'est mon avis. Si mon petit regard malicieux te dérange, dis le moi calmement, car tu t'es foutue un peu la honte. C'est tout, bon cours.»

DAMBETH
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Dans la vie, il y a deux genres de personnes : ceux qui classent les gens dans des groupes et ceux qui ne classent pas. Dire que je fais partie de la deuxième partie serait hypocrite était donné que je viens de faire un classement. Mais pour moi, il n'y a qu'un seul et unique classement valable. Dans mon classement, il n'y a qu'un seul groupe, celui des humains. On est tous pareils, tous égaux ... et à moins que vous n'ayez été victime d'un grave accident, nous avons tous deux yeux, une bouche, un nez, deux jambes et deux bras. Je ne vois donc pas pourquoi on classerait les gens. Après tout, on s'en fiche totalement qu'ils soient populaires ou pas, qu'ils soient riches ou pauvres, non ? Qu'est-ce que ça peut nous faire de toute façon ? J'étais certaine que Damon était le genre de gars a classé tout le monde par popularité et richesse pour voir qui il pouvait et qui il ne pouvait pas fréquenter. Pathétique. Qu'était-il arrivé à ce pauvre garçon pour qu'il se mette à sauter tout et n'importe qui ? Je me retournais vers lui car il venait de crier quelque chose, mais je n'avais pas compris quoi. Toute la classe le regardait avec des yeux ronds. Moi, je n'avais pas compris et ... je n'essayais même pas de comprendre. Ce gars me sortait par les trous du nez, j'en avais plus qu'assez de lui. J'aurai peut-être du écouter ma mère quand elle me disait que je devais m'inscrire à un cours de karaté, j'aurai bien pu lui botter les fesses à ce minable. Je ne savais même pas pourquoi je m'emportais autant pour un gars comme lui, il n'en valait tout simplement pas la peine. C'était à ce moment-là que monsieur Stokson décida d'intervenir. « Mademoiselle Bentley, calmez vous s'il vous plait, on est en cours tout de même, et vous Monsieur Stewart, si vous ne voulez pas suivre le cours ne faite pas partager votre perte de temps avec ceux qui veulent travailler. Merci. » Je souris, triomphante. Ce professeur n'était peut-être pas aussi stupide qu'il en avait l'air. « Euh ... toi là! Oui toi la fille qui s'énerve très vite. Je t'avoue que tu as un caractère bien tordu, très corsé. Ouais bon je te laisse poursuivre ton cours qui va te servir à que dalle dans ton métier, mais bon c'est mon avis. Si mon petit regard malicieux te dérange, dis le moi calmement, car tu t'es foutue un peu la honte. C'est tout, bon cours.» Je reconnu cette voix. Ne pouvait-il pas la fermer pour de bon ? Était-ce aussi compliqué que ça de fermer sa bouche pendant la demi heure qu'il restait ? Croyait-il franchement que c'était fini ? Cela ne venait que de commencer, ce pauvre abruti ne savait pas à qui il s'était frotté. Si ça avait été possible, mes yeux auraient été des lasers et Damon fondrait sous mon regard noir. Je m'étais levée d'un bond en frappant les mains sur mon bureau de bois, faisant sursauter certains élèves. « Alors, déjà de 1) je m'appelle Embeth, je viens de te le dire. Mais apparemment, tu ne t'en souviens pas, tu dois avoir une mémoire de poisson, ce qui confirme le fait que tu es un imbécile fini. De 2) tu ne sais pas ce que je veux faire plus tard, donc tu ne sais pas ce que le cours d'histoire de monsieur Stokson peut m'apporter ou pas. De 3) oui, ton regard me dérange, on fixe pas les gens comme ça, bordel ! Et pour finir, c'est toi qui te fous la honte tout seul. T'es pathétique, c'est tout. Reconnait-le, histoire de garder le peu de dignité qu'il te reste. Alors, tu veux bien arrêter de faire le gamin maintenant et grandir un peu ? ». Je soupirai bien fort avant de me rasseoir calmement. « Crétin », marmonnais-je lorsque je fus assise. Tout le monde me regardait, surpris, même le professeur. Peu importait, je me fichais de leur regard interrogateur. En soupirant encore une fois, je pris mon sac sur mes genoux et en sortit mon iPod nano rose, j'enfonçais les écouteurs blancs d'Apple dans mes oreilles et cherchais une de mes chansons préférées, une fois trouvée, j'appuyais sur play. Je fermais les yeux, me laissant bercer par la douce mélodie de Detlef Schrempf des Band of Horses.
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C'est nul, pardon ...