Le hasard fait si bien les choses (ou pas) feat. Damon

« Le passé ne peut être changé, tandis que le futur, lui, n'attend que son écriture. »

Vendredi 4 Juin 2011 - 16:58
J'étais dans le train du retour de Washington - New Haven. J'étais partie rendre visite à ma tante qui vivait là-bas. J'avais emmené Noah -âgé de 10 mois maintenant- avec moi, c'était l'occasion idéale pour lui faire découvrir le beau pays que les États-Unis étaient. On avait séjourné trois jours chez ma tante. Cela m'avait permis de faire une petite pause dans mes études. Être étudiante et maman a plein temps n'est pas facile tous les jours. Voilà un des principaux motifs de ce voyage. J'avais besoin de me reposer et de déstresser. Depuis que je suis mère, beaucoup de mes habitudes ont changé : je fais moins la fête, je suis plus ordonnée, responsable. Bref ce petit week-end "improvisé" m'avait fait beaucoup de bien. Je rentrai donc sereinement et en pleine forme à Yales. Soudain, une voix féminine se fit entendre et me fit sortir de mes pensées. Elle nous indiquait que nous étions arrivés à destination. Je m'empressai donc de prendre ma petite valise à roulette (heureusement dieu merci), c'est rare que je voyage aussi léger, mais il ne faut pas oublier que j'ai une valise et un bébé en main. Je pris tendrement Noah dans mes bras. Il venait tout juste de se réveiller. Ah ! Un vrai petit ange. Il est si adorable quand il dort mais c'est un vrai garnement quand il est éveillé. Je m'avançai vers la porte du wagon. Au passage je jetai un vite coup d'œil sur une vitre du compartiment où je vis mon reflet. Mes cheveux étaient en bataille et mes joues étaient rouges écarlates à cause de la chaleur pesante. J'ajustai mes lunettes de soleil et descendis du train. Je me dirigeai tranquillement vers la sortie de la gare. J'étais éblouie par la lumière du soleil. Je fonçai droit devant sans savoir vraiment où je me dirigeai. Noah commença à gesticuler dans mes bras. J'essayai tant bien que mal de le calmer, mais en vain. Je commençai vite à perdre tous mes moyens. Je marchai toujours tout droit quand brusquement je me heurtai contre quelqu'un. Je m'empressai tout de suite de m'excuser sans savoir à qui je m'adressais. Je levai ensuite la tête et mon regard se posa sur la personne en question. Pendant un moment je fus paralysée sur place, la bouche grande ouverte. Je n'en croyais pas mes yeux. Devant moi, se trouvait le dernière personne que j'aurai eu envie de voir au monde. Devinez de qui il s'agissait ? Du beau gosse numéro un de Yales. Vous savez ce beau brun ténébreux au regard qui vous ensorcelle et au corps musclé. Damon se trouvait juste devant moi. Je suis vraiment maudite. A chaque fois je suis obligée de le croiser... On ne s'était pas revu depuis la dernière fois. La dernière fois, où il m'avait bombardé de questions en me disant qu'il me connaissait sur les pelouses de Yales. Je niais le contraire, bien sûr. Si seulement, il n'était pas venu s'assoir à côté de moi, rien de tout cela ne se serait produit. Je restai là devant lui. Sans rien dire. Sans bouger.

désolé pour ce post pourri, je suis nulle en début...

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Destiny and Damon.

Aujourd’hui, je n'avais rien de très intéressant à faire, et je me suis dit que je pourrai aller rendre visite à ma mère. Cela faisait extrêmement longtemps, que je n'étais pas aller lui rendre visite. Bien entendu, le premier lieu ou j'avais penser la voir fut la maison, mais j'aurai dû me douter qu'elle travaillerait encore à cette heure là. A peine arrivé à la maison que je partis pour son travail. Je pris l'une de mes voitures qui était resté dans mon garage. Quand je m'assis sur la siège, les mains sur le volent de ma Mercedes Berline, je sentis la joie monter en moi. Et une fois que le moteur se mit à ronronner, je me sentis plus que vivant. Il y avait si longtemps que je n'avais pas roulé avec cette voiture. Elle prenait la poussière pour rien dans ce vieux garage. Elle devait absolument prendre un peu l'air, c'est pourquoi je me suis allé rendre visite à mère au volent de ce beau bolide. La vitre baissé, je sentais l'air frais dans mes cheveux, et sur mon visage. Je me sentais bien, j'allais revoir ma mère chérie. En plus je ne suis pas parti de l'université les mains vide, je lui rapporte un petit cadeau. J'espère que ces bons chocolats lui feront plaisir. Faut-il que je ne les mange pas avant d'être arrivé, car ils me tentent énormément il faut l'avouer. Mais jamais je ne pourrai les lui manger, sauf si je reste coincé dans un embouteillage pendant très très longtemps, et qu'il n'y a pas de restaurant aux alentours. Là je serrai tout à fait capable de les lui manger. Je veux bien être gentil avec elle, mais quand même, de là à se laisser mourir de faim, quand même pas. Heureusement pour elle, je suis arrivé avec la boite de chocolat pleine. La circulation fut très bonne pour une fois, qu'elle chance dit donc. Ô de toute façon, elle m'en donnera bien un petit peu, non? Je connais son grand sens du partage.
Malheureusement pour moi, aujourd'hui elle ne pointa pas son sens du partage, mais celui de l'avare. Merci maman, je peux constater que tu tiens vraiment à moi, hein. La prochaine fois tu n'auras rien du tout, si c'est comme ça. Tant pis, je suis resté près de deux heures à lui parler, mais toute choses ont une fin. Il était temps pour moi de monter dans le train pour rentrer à l'université, car demain j'ai encore des cours. Ce n'est pas les vacances pour tout le monde, il faut dire. Dans le train, il n'y avait personne. Cela m'étonnes quand même. Normalement pour un Vendredi, il y a du monde qu'ils veulent revenir de Washington. Mais là, pas un rat. Bon mis à part ce vieux couple qui ronfle comme un porc depuis plus de vingt minutes. C'est franchement désagréable ce vieux bruit. Le trajet ne fut pas très long, et mes oreilles en furent très heureuses je peux vous le dire. Je descendis le wagon, et m'avança vers la sortie de la gare. Quand une jeune femme qui portait une bébé dans ses bras, ce cogna contre moi. Cette femme s'excusa sur la champ, et je fis de même. Quand soudain, je reconnus cette voix. Cette voix que j'avais déjà entendu sur l'herbe du bahut, sous le vieux arbre. Pourquoi restait-elle bouge-bée? J'ai l'impression de lui faire peur, seulement je n'ai rien fais d'effrayant, ou si ça se trouve j'ai quelque chose de très moche sur moi, et ça l'a choque.

« Pourquoi tu me regardes comme ça? Je n'ai rien sur la visage non? Tiens tu as fait tomber tes lunettes.»

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« Le passé ne peut être changé, tandis que le futur, lui, n'attend que son écriture. »

« Pourquoi tu me regardes comme ça? Je n'ai rien sur la visage non? Tiens tu as fait tomber tes lunettes.» Je ne m'étais pas rendu que cela faisait trois minutes que j'étais restée là, planter devant lui, sans rien dire, et en le regardant d'une drôle de tête. Dans notre bousculade, j'avais fait tombée mes lunettes de soleil. Damon me les tendait pour que je les récupère « Non, non tu n'as rien sur le visage. Ah merci ! Euh... Tu peux me les remettre, comme tu peux le voir j'ai les deux bras pris. » J'avoue que s'est bizarre de demander ça à un garçon. Mais ce n'est pas ma faute si je suis chargée. J'étais rouge écarlate quand il me les remit. Noah commença à gesticuler dans mes bras. Il n'aimait pas attendre. Mais je me trouvais dans une impasse. Devant moi se trouvait le père de mon fils. Moi qui m'imaginait avoir une vie tranquille. Je ne pensais pas revoir Damon aussi tôt et surtout à Yale. Ce qui compliquait les choses. Je pensais que quand Noah aura dix ans et qu'il me demandera qui est son père je lui raconterai l'histoire en sautant quelques passages, bien sûre. Mais maintenant le fait de revoir son père dans cette gare, entourée de cette foule bruyante et bougeant dans tous les sens, me donnait un mal de crâne affreux. Le père et le fils n'avait jamais été aussi proche l'un de l'autre, même s'ils étaient tous les deux dans l'ignorance totale. Si on regarde bien Noah, c'est le portrait craché de son père. Le même couleur de peau mate, le même nez, la même bouche. Tous ! A l'exception de sa couleur des yeux. De beaux yeux bleus clairs comme sa maman. La ressemblance était frappante entre eux deux.

« Ma... maman. » Non chuuut ! Le mot qui ne fallait surtout pas dire. Et pas devant lui ! J'espère qu'il ne l'a pas entendu. Ah ! Les gosses dès qu'ils commencent à parler ça devient incontrôlable.

Vite ! Je dois trouver une solution. Faire comme si de rien n'était ? Non, mauvaise idée. M'enfuir ? Laisse tomber Destiny tu es trop charger pour courir à toutes jambes. Mentir ? C'est peut-être la seule efficace solution. Même si je n'étais pas vraiment douer pour ce genre de chose, il fallait tenter le coup. Qui tente rien n'a rien, comme dirait ce proverbe « Je... Je fais du babysitting ! Euh non ! En faite c'est mon petit cousin. Je le garde pour... rendre service à... ma tante ! » C'est ce qui s'apelle "s'emmêler les pinceaux". Je me demande si Damon avait compris mon charabia. Personnellement, moi je n'avais pas compris un mot de ce que j'avais dit. Mais avec la pression et l'angoisse, j'avais tout foirer, ce mensonge s'était transformé en énorme boulette. Maintenant, c'est malin, il allait me bombarder de questions. Tout ce que je redoutais le plus. Bien joué Dest' !

Destiny and Damon.

« Non, non tu n'as rien sur le visage. Ah merci ! Euh... Tu peux me les remettre, comme tu peux le voir j'ai les deux bras pris. »C'est sur qu'avec un bébé dans les bras elle a un peu de mal. Mais dis donc c'est qu'il est beau lui, enfin je ne veux pas m'en faire mon pote non plus. Je ne suis pas franchement le gars qui est fan des petits. Je veux bien les voir, mais plus ils sont loin de moi, et mieux je me porte. Je ne dis pas que je n'aurai jamais d'enfant, mais de toute façon je ne suis pas encore prêt à en avoir un, je ne suis pas quelqu'un d'assez mature pour m'en occuper, et puis je n'ai que dix-neuf ans, j'ai encore le temps. Ça m'embêterai d'en avoir un à mon âge. Vous me voyez avec un gosse dans les bras et dire «Dis PAPA! allez dis PAPA.» Vous voyez comme dans la pub pour le lait de Lactel. Ah bas moi je peux vous dire que je ne me vois pas le dire, et encore moins lui changer ça couche, lui donner un bain, lui donner à manger, lui donner mon doudou. Han mon doudou, alors là non! C'est le mien il peut toujours crever pour en avoir un. C'est mon père qui me l'avait acheté. C'est le mien à moi et à personne d'autre OK?! La bonnr blague, je ne sais pas comment ils font les jeunes pour s'occuper d'un bébé à leur âge. Et Destiny avoir un bébé l'idée ne me serai jamais venu, c’est peut être son petit frère à prêt tout. J'en sais rien moi, je ne la suis pas les rues pour savoir à qui il est. De toute façon je ne me vois pas la suivre comme ça dans les rues pour savoir tout sur elle. Vous imaginez la scène, elle est franchement d'un ridicule. Les gens appellerai la police, et moi qu'est-ce que je leur dirai «Bonjour, excusez moi je suis mon amie pour savoir à qui est le petit qui se trouve dans ses bras.» Mais oui bien sur j'allais vous le dire. Là je peux être certain d'aller faire un tour dans la cellule et pour un petit moment. Je ne suis peut être pas un grand génie, mais je ne suis pas né de la dernière pluie. « Ma... maman. » . Ô et bien c'est bien son gosse. Comment fais t-elle? Elle doit avoir mon âge pas plus je pense. Je lui dis bravo, c'est une personne bien responsable. Je lui tire mon chapeau franchement. Comment fait-elle avec les cours cela ne doit pas être vraiment facile, et puis qui est le père? Ô je dois mener une petit enquête la dessus. Je suis une personne qui aime tout savoir, je suis une commère. J'en suis fier. C'est peut être pas un compliment, mais moi je le prends très bien, et je l'assume les épaules très hautes. Je ne suis pas une personne parfaite, mais je sais que c'est pas quelque chose de bien. Enfin moi j'aime bien les ragots, et puis qui n'aime pas ça. C'est la grande mode, tout le monde parle sans savoir de qui ils parlent et après cela se propage comme de la poussière. Pas de besoin de me regarder avec de grands yeux, je sais que vous en faite autant. Tout le monde le fait, et franchement si vous me dites le contraire je dis que vous êtes des menteurs. Personne n'ose vraiment se l'avouer, mais pourtant c'est la simple vérité. De toute façon il n'y a que la vérité qui blesse et c'est la vérité. Je vois que j'ai marqué un point pas besoin de faire les innocents. « Je... Je fais du babysitting ! Euh non ! En faite c'est mon petit cousin. Je le garde pour... rendre service à... ma tante ! » Geeeere je reconnais quand une personne mens et Destiny ment, et elle ment très mal en plus. On va faire genre de rentrer dans son jeu comme ça elle semblera satisfaite. Le pire dans l'histoire c'est qu'il a les même yeux qu'elle, mais alors le reste y a aucun rapport avec elle. Il a plus la peau comme moi, et les cheveux aussi comme moi. Il fera des ravaches plus tard vous verrez. Un gars qui me ressemble ne peut que faire tomber toutes les filles à ses pieds. «Ta tante ou ton oncle doit avoir les même yeux que toi alors. Comment s'appelle d'il? Je parle du petit.» C'est drôle de faire tourner en bourrique les gens. J'aime tellement ça.