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 Huhuhuhuuh.

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AuteurMessage
Serafina Penny Olivers
EFFY;
« You make me wanna DIE

Serafina Penny Olivers

♣ Anti-sèches : 721
♣ Demeure à : New Haven
♣ Inscrit depuis le : 04/09/2010

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♣ Statut : Perdu(e)
♣ Popularité :
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MessageSujet: Huhuhuhuuh.   Huhuhuhuuh. EmptyLun 2 Avr - 0:09



EleanorMayMarlowe


« are you even there? » kris allen • i need to know

FICHE D'IDENTITE

  • NOM : Marlowe
  • PRENOMS : Eleanor May
  • DATE DE NAISSANCE : 17 juillet 1991
  • LIEU DE NAISSANCE : Londres
  • NATIONALITE : Anglaise
  • ORIGINE : Anglaise et italienne
  • STATUT : Célibataire
  • FAMILLE : Un frère, des parents, une cousine
  • ETUDES/METIER : Travaille dans une galerie d'art et étudie en dernière année d'art plastique.
  • GROUPE : Peintre
  • SIGNE PARTICULIER : Elle a un tatouage sur le poignet droit qui dit Cowabunga en référence à son ex-petit ami.
  • LANGUES : Anglais, français, italien
  • SPORT : Gymnastique, patinage et jogging
  • TROIAN BELLISARIO
Huhuhuhuuh. Tro35
thisishome



WHAT YOU SHOULD KNOW ABOUT HER/HIM

Je l'ai regardé, et j'ai tout de suite su qu'on allait être amis.
C'était un samedi, en plein mois de novembre. Il avait plu toute la journée et j'étais restée à la maison. Il faisait presque nuit mais je portais encore ma robe blanche en dentelle que ma mère m'avait achetée la veille et mes ballerines rouges vernies tandis que mes cheveux tombaient en cascade sur mes petites épaules. Des amis à mes parents devaient venir dîner chez nous et leurs enfants allaient les accompagner. Je n'étais jamais vraiment excitée à la rencontre de nouvelles personnes, à vrai dire, ça me faisait presque peur mais cette fois-ci, ma mère voulait vraiment faire bonne impression. Je n'avais jamais vu une aussi belle décoration de table et la maison était parfaitement propre. J'entendis sonner et ma mère, suivie de mon père, se dirigea avec un calme surprenant vers la porte d'entrée. La porte s'ouvrit et j'aperçus un couple, Gemma Livesey et Lorenzo Gallini, élégant et raffiné comme on pouvait les voir dans les magazines. Derrière eux, se trouvaient leurs enfants Maysie et Tim. Ils se ressemblaient un peu, ce que je trouvais drôle. Elle, était silencieuse, timide presque effacée tandis qu'il était souriant et spontané. Ils se rapprochaient de moi et je leur fis rapidement la bise. « Eleanor, va leur montrer ta chambre. » Ma chambre n'était pas peinte en rose et remplie de photographies de princesses comme la plupart des chambres de petites filles, mais c'est pour ça que je l'aimais et je la trouvais jolie. Je leur montrais rapidement quelques peintures, trophées et autre mais le regard de Tim s'arrêta sur un tableau des Simpsons et il se retourna vers moi. « T'aimes les Simpsons? » Je souris et répondis que c'était mon dessin animé préféré. Il cria alors "Cowabunga" , en référence à Bart Simpson, et je ris. Je l'ai regardé et j'ai tout de suite su qu'on allait être amis. Et c'est tout simplement ça qui m'a rapprochée de Tim. D'ailleurs, on s'était fait tatoué ce cri de guerre lors de nos 18 ans : moi sur le poignet et lui sur le cou. Je ne savais pas encore que ce petit garçon brun allait changer toute ma vie.

J'avais accepté même si ça faisait un mois que je m'étais rendue compte que j'aimais Tim.
« QUI vous a dit de poser ça ici? » Je m'étais portée volontaire pour l'organisation du bal de fin d'année de l'université. Surprenant, quand on savait que je ne comptais même pas y aller, un mois plus tôt. James, un étudiant en dessin m'avait proposé de l'accompagner et j'avais accepté même si ça faisait un mois que je m'étais rendue compte que j'aimais Tim, mon meilleur ami, et je me sentais honteuse comme si je n'avais pas le droit. Je finis mon frappuccino avant de le jeter dans la poubelle du gymnase. J'avais finis mon boulot et je n'avais plus qu'à rentrer chez moi et me préparer.
Ma robe taffeta bubble de Sonia by Sonia Rykiel violette enfilée je mis mes louboutins noirs et descendis rapidement les escaliers. James était devant la porte. Il m'avait proposé de l'accompagner pour éviter d'aller à un de ces dîners ennuyants que ses parents organisaient chaque week-end, on ne devait pas se voir de toute la soirée. C'était le genre de garçon gentil et doux qui ne fesait pas de mal à une mouche. Ses cheveux étaient blonds et ses yeux verts. Il me sourit et nous sortîmes de la maison.
La salle était exactement comme je l'avais imaginée. L'éclairage était légèrement bleuté et le plafond n'était éclairé que par des sortes de lanternes blanches. La musique était bonne et les gens avaient l'air de s'amuser. C'était assez sombre, mais joli. Cependant, je me demandais ce que je faisais ici. Je n'avais pas vraiment de cavalier et je n'avais encore vu personne que je connaissais. Une chaise se libéra et je m'y assis. Je n'avais jamais vraiment aimer danser et l'idée d'aller me déhancher sur la piste, en solitaire, ne m’enchantait pas vraiment. James apparut soudainement devant moi et me tendis la main. « Eleanor, veux-tu danser avec moi? » Je fronçai les sourcils, ce n'était pas vraiment ce qui était prévu. « Pas vraiment, James. » Il avait beau être gentil, je ne le supportais pas dés qu'il ouvrait la bouche. « Aller ! Tu ne veux pas bouger? Perdre quelques calories? » « Je te demande pardon? » « C'est pas ce que je voulais dire.. » Je soufflais, il n'avait pas l'air de vouloir s'en aller. « Tu es venue en tant que ma cavalière, tu me dois une danse! » J'allais répondre mais quelqu'un fut plus rapide que moi. « Elea, on a besoin de toi pour un problème de..euh..c'est urgent. » Tim m'attrapa par le bras et m'entraîna vers la piste. James, n'ayant pas l'air de comprendre, s'en alla. « Waw, très subtil. » Je me mis à rire. « J'ai pas vraiment eu d'idées sur le moment mais vu ton regard, je devais faire vite. » « Pas faux. » Je tournais la tête, autour de nous, un tas de couple dansaient tandis que d'autres ne quittaient pas le buffet. « Tant qu'on est ici, pourquoi ne pas danser? » Il me tendit sa main. « Tu sais que je ne suis pas une bonne danseuse... » Trop tard, il m'entraîna au milieu de la foule. Always Remember Me de Ry Cuming passait et c'était l'une de mes chansons préférées. Je ne savais pas si c'était l'effet de la chanson ou des couples mais on ne s'était plus parler pendant tout le reste de la chanson. Je ne l'avais pas quitter des yeux. Il était si proche de moi, que je pouvais sentir son souffle dans mon cou. Et à la fin de la chanson, on s'était embrassé. Je ne savais pas quoi en penser, il était mon meilleur ami, et c'était arrivé. Même si j'en rêvais, seulement, pour la première fois de ma vie, je ne savais pas ce que je voulais. Je ne voulais pas tout gâcher, car c'était la personne à laquelle je tenais le plus et le perdre voulais dire, renoncer à tout. On annonça quelque chose au micro et avant que je ne puisse m'en rendre compte, Tim n'était plus là.

Il m'évitait, j'en étais sûre.
Je ne revis plus Tim pendant une semaine. Il m'évitait, j'en étais sûre. Je ne savais toujours pas ce qui c'était passé ce soir-là. Je ne savais pas ce que ça représentait pour lui ... et pour moi. Ça ne m'avait pas empêché de sortir avec d'autres garçons, même si Tim occupait toutes mes pensées. Il me parlait comme si de rien n'était un jour et m'évitait l'autre.
C'était un soir de mai, un mois plus tard, quand je le vis dans une rue de Londres. « Tim ! » Il se retourna, l'air nonchalant. « Oh tiens, Elea. » Comment pouvait-il être aussi calme? Cette situation commençait à me mettre hors de moi. « Ah vraiment? Tu vas finir par me dire à quoi tu joues? » « Excuse moi? » « Tu m'embrasses pendant le bal de fin d'année et puis tu m'évites un jour et me parle le lendemain comme si de rien n'était. » « Dis la fille qui est sortie avec deux gars, entre temps. » « Oh! Maintenant, c'est ma faute... » « Je dis juste que ça ne t'as pas empêché de sortir avec le premier écervelé venu. » « Ce ne sont pas des écervelés ! » « Vraiment, Elea? » Non, ce n'étaient pas des écervelés, mais aucun d'entre eux n'était mieux que Tim. On ne s'était jamais vraiment disputé, et lui crier dessus ne m'étais jamais arrivé. Mon téléphone sonna. « C'est qui? Derek? Wade? » « Tu sais quoi? Ça ne te regarde même pas... Tu n'es pas mon petit ami. » Je me retournais, prête à m'en aller, les larmes aux yeux. « Je suis qui, alors? » Je fis volte-face. « Tu...es...» Je n'arrivai pas à finir ma phrase. « Tu n'es même pas mon amie. » Je m'avança vers lui, prête à le gifler. Comment pouvait-il ? J'avais passer presque toute ma vie à ses côtés, il ne pouvait pas tout renier comme ça, mais il attrapa ma main à temps.« Tu es la fille dont je suis amoureux. » Il m'attira vers lui et m'embrassa avant de finalement dire : « Je t'aime. »

Ça ne pouvait pas finir comme ça..
Ça faisait un an et cinq mois que je sortais avec Tim, ou les plus beaux jours de ma vie. On filait le parfait amour et rien ne pouvait nous séparer. Un ami nous avait invité à une soirée, ce genre de fête où la plupart des personnes sont déjà saoules alors que la soirée vient de commencer. J'avais mis une robe imprimée léopard Topshop, des boots compensées peep - toes Addison de Topshop, une veste en cuir et un sac gris vernis Yves Saint Laurent. On étais rentré dans la maison et j'avais rapidement perdu Tim. Je l'avais retrouvé une heure plus tard, complètement shooté. Il n'avait apparemment pas bu que de l'alcool. La seule vue de son visage me donnait envie de pleurer. « Tim? Tu t'es vu? Viens, il faut sortir d'ici. » « Lâche moi, toi ! » « Tim, c'est moi, je t'en prie, t'es dans un mauvais état. » « Non, c'est toi qui va pas bien. » Il attrapa une canette de bière, que je lui pris. « Rend moi ça. » « Non. » « Alors, va te faire foutre. » « Tim! » « Non, c'est fini. » Non, ça ne pouvait pas finir comme ça. Je savais que l'effet de l'alcool lui faisait dire ça, qu'il ne le pensait pas vraiment. J’essayais de le rattraper mais il devenait de plus en plus violent. Je sortis de la maison et conduisit jusqu'à chez Maysie, elle seule pouvait raisonner son frère. S'il continuait, j'étais sûre que ça deviendrait grave. J'étais arrivée chez elle, lui avait expliqué le problème, mais on n'avait pas eu le temps de retourner à la soirée, on avait reçu un appel. L'appel. On avait pleuré, crié ensemble. Il était partit, et cette fois il ne reviendra pas.
Ou pas.



COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM : Patachouuu :crazy:
MOT DE LA FIN : I'M A BANANA.

fiche entièrement créée par matchbox,
ne pas prendre sans autorisation et créditer, merci.
crédit des images : tumblr et the endless love.



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